
Istanbul Bilgi University. Faculty of Communication
Algorithms in Film, Television and Sound Cultures: New Ways of Knowing and Storytelling Online Conference, April 29-30, 2021
Title of the lecture presented: ” How to further engage cinephiles at The Criterion Channel: When Algorithms meet Curators”
Abstract
The algorithmic functions of The Criterion Channel are more discreet than those of the big tech companies, because in its DNA, the service is based on the traditional practices of the market for this type of auteur cinema: elite curators establish what is and what isn’t good cinema.
The Criterion Channel contributes to the education of cinephiles everywhere, but it still is a somewhat niche-oriented, and some might say elitist service that transfers the information vertically through the filter of western values and the American Independent Cinema matrix. It is far from being truly global and truly truly democratic and truly inclusive.
But first of all, long before algorithms ever come into the picture, this task requires the contribution of curators, content coordinators, auteurs, scholars and other key figures that constitute the main sources for the interpretation of historical and patrimonial films. A task that is still not something a computer program can do.
The shape of Cinephilia in times of VoD distribution is much like the two faces of the mythical Janus (Valck 2016): on one side, there is the passionate face of the audience and on the other, there is the curators, with its dogmatic and sometimes biased perspective of cinema. I would suggest that for the future algorithmic development of The Criterion Channel, audiences should be allowed to become much much more active and empowered and not just passive consumers.
Even if the logic behind the functionality of this platform seems simple, and opaque, very much like the ever so famous black box model (device, system, or object which can be viewed in terms of its inputs and outputs, without any knowledge of its internal workings)., we mustn’t forget that it is articulated to other tech companies and a plethora of information regarding spectator behavior and user experience serve as big data to the decision making of the type of content and programming criteria that VoD services should have to offer.

Le Colloque arts et médias de l’Université de Montréal
Espaces : imaginaires, habitats et contestations
Du 19 au 21 novembre 2020
Titre de la communication « Street View, le temps de l’image algorithme »
Cette communication porte sur la production artistique des séries photographiques, qui ont comme source primaire l’interface appelée Steet View de Google. Une étude de cas sur le travail de Michel Wolf nous permet de mieux comprendre les explorations critiques des arts médiatiques contemporains.
Notre principale réflexion se présente autour de la question : qu’est-ce que les arts médiatiques peuvent dire du web, que Google ne peut pas dire de lui-même ? Autrement dit : qu’est-ce que l’être humain et notamment les artistes nous disent sur le monde qu’un algorithme ne nous dit pas ?
Ces séries photographiques ont des significations esthétiques et politiques plus complexes que des simples vues de rue. Ce sont des images genre « Model, plus variation » (Cousins 2017) de différentes traditions de la photographie de rue et du cinéma.
Les possibilités créatives de cet outil sont infinies, parce qu’aujourd’hui, car cette archive est aussi infinie. Depuis 2020, Google a réussi à entrer dans les bâtiments, dans les locaux commerciaux, mais aussi dans les musées, dans les maisons. Il a cartographié la planète entière, de l’Amazonie, aux Alpes, et même les océans de notre terre.
Ces images possèdent un potentiel pour les dériver en récits cinématographiques et interactifs, entre autres.
Finalement, ce type de séries nous montrent comment les compétences artistiques tendent à s’hybrider par des algorithmes numériques. Actuellement, les captures photographiques automatiques, les images programmées avec machine Learning, démontrent le manque de neutralité de ces dispositifs et notamment du web.

América Latina: antigos isolamentos, novas conexões.
3 de setembro, Universidade Federal de Juiz de Fora
O panorama audiovisual latino-americano é hoje muito estimulante, porque após várias décadas estamos a atingir os mais elevados parâmetros de qualidade de produção. Conseguimos o reconhecimento das nossas produções, o que se reflete nos prémios e visibilidade internacional
Com testemunhos de Juan Carlos Rulfo, Marcela Lizcano, Pablo Martínez Zárate, Daniel Bury y Pia Ilonka, observamos que estão ocorrendo importantes mudanças na cronologia da distribuição de filmes de autor, mas que para se conseguir o seu encontro com o público da região, ainda há um longo caminho a percorrer.
O impacto do Covid-19 reforça diferentes reações da indústria audiovisual da América Latina. Esta se tornou muito unida, e surgiram novos grupos de trabalho sem precedentes que estão pagando por uma transformação do setor.
Mais do que nunca, as plataformas VOD são a nova arena para a distribuição em massa. A pandemia para algumas empresas se traduziu em crescimento e maior riqueza. Para os cineastas anteriormente citados, o maior desafio era atingir o tipo de público além dos circuitos do festival ou das galerias de arte.
Os festivais sofreram uma forte crise. A sua dissolução não se deve apenas à limitação de eventos maciços derivados da pandemia, mas também aos seus critérios de seleção, elitismo, e pouca transparência. O modelo para a distribuição dos conteúdos da realidade virtual e transmídia não estão desenvolvidos, mas se encontram em franca experimentação.
As conexões e colaborações com o Brasil estão ainda pendentes, para os falantes de espanhol é visto como um mercado com potencial, mas certamente isolado. Entre universidades e grupos de pesquisa do audiovisual, deseja-se um contato para além dos previamente estabelecidos.

Communautés sous-représentées dans les médias canadiens. Classe de maître avec Diego Briceño
31 mars 2021.
De plus en plus, les nouvelles générations de producteurs des médias, ont commencé à montrer ces communautés comme des gardiens des connaissances ancestrales, comme des agents de change, des décideurs, des intellectuels, des artistes, bref, des leaders dans plusieurs domaines, mais il faut toujours faire ces contenus plus accessibles et populaires. Justement Joël m’a parlé sur le prix collégial du cinéma québécois qui recentrement a lauréat le film «Je m’appelle humaine» de la réalisatrice d’origine Abenaki Kim O’Bomsawin. Ceci montre comment les jeunes publics ont besoin de plus de films dans cette direction.
Cependant, du côté de l’industrie, la réussite de la part des personnes des communautés sous-représentés n’est pas facile. Par exemple, dans le rapport de recherche des fonds des médias intitulé« Reprendre autrement » on trouve le témoignage de Megan Byrne, conceptrice de jeux métisse et fondatrice d’Achimostawinan Games, qui a l’heure de lancer son jeu « Cyber Noir » dans les marchés internationaux, elle a vécu de la discrimination de la part des intermédiaires du secteur, je cite : « Un bailleur de fonds européen a même fait des commentaires au sujet de mon nom, de mon apparence, disant que je n’étais pas “facilement identifiable” comme autochtone, et qu’il ne savait pas que les autochtones d’Amérique du Nord étaient encore vivants. Bien évidemment, le premier commentaire était désagréable, et le deuxième, irritant. »
Ainsi, une forte vague des mobilisations sociales ont impacté l’instance de financement d’audiovisuelle — la plus importante au niveau fédéral —, le Fonds des médias du Canada (FMC)‑ qui est entrain creer une nouvelle politique.
Ceci, c’est un point essentiel parce que nous sommes dans un marché audiovisuel intégré vertical et horizontalement. D’ailleurs Ives Théoret dans son article « La Concentration et la propriété mixte des entreprises culturelles et des médias d’information au Canada » citait la vision du Groupe Lisbonne daté en 1995:
« Le modèle général qui émerge, écrit le Groupe de Lisbonne à l’égard de l’ensemble de l’activité économique, incluant les communications, est celui d’une série de structures mondiales oligopolistiques qui présentent le danger de pouvoir donner naissance à des mégacartels mondiaux d’une puissance jamais égalée » (Groupe de Lisbonne, 1995).
Pareillement, nous trouvons cette idée de « cartel » comme modèle de fonctionnement dans les médias contemporaines dans la recherche d’André Gaudreault et Philipe Marion (2019), qui expliquent comment la politique commerciale de la plateforme Netflix, ainsi que ses stratégies et opérations sont très similaires à celles du système de trafic de la drogue. Selon eux, la société de Los Gatos, en Californie, n’a pas seulement acquis différents contenus et séries pour son catalogue, mais a également acheté au plus grand nombre de cinéastes pour réaliser ses propres productions originales.

Ecosistema audiovisual, plataformas y cultura digital.
Mayo de 2021
Conferencia por la traducción del texto ” Los intervalos seriales bajo el prisma de las series culturales” evento coordinado por la Universidad de la Provincia de Buenos Aires.

PROCINEDF e IMCINE
invitan al
SEMINARIO
PENSAR LOS PÚBLICOS DE CINE MEXICANO
DE LA CIUDAD DE MÉXICO
4-6 abril de 2019
Casa Refugio Citlaltépetl
Citlaltépetl 25, Hipódromo, 06170 Ciudad de México
APERTURA
María Novaro (Directora del Instituto Mexicano de Cinematografía IMCINE)
INTRODUCIÓN
Ana Rosas Mantecón
ESPACIOS, PÚBLICOS Y CIUDAD
SESIÓN MATUTINA
4 de abril
10-14 horas
Modera: Antonio Zirión
11:00
- EL CIRCUITO CULTURAL DE LA CDMX -REDES DE ACTORES Y PERFILES DE SUS AUDIENCIAS
Katia Morales Gaitán
11:45
- ESPACIO URBANO Y EQUIPAMIENTO DE EXHIBICIÓN CINEMATOGRÁFICA EN LA CIUDAD DE MÉXICO. RECONFIGURACIÓN Y TENDENCIAS
Cuauhtémoc Ochoa Tinoco
12:30
- CONDICIONES DE LA DISTRIBUCIÓN DE CINE EN LA CIUDAD DE MÉXICO. CASOS DE ESTUDIO DE PELÍCULAS MEXICANAS
Lariza Melo y Lucia Miranda
13:15
- EL CINE MEXICANO, SUS PÚBLICOS Y LA EXHIBICIÓN SITUADA EN LA CIUDAD DE MÉXICO. UN ESTUDIO DE CASO
David Sandoval Huerta
COMENTARIOS Y DISCUSIÓN: Víctor Ugalde
ESPACIOS, PÚBLICOS Y CIUDAD
SESIÓN VESPERTINA
4 de abril
16-20 horas
Modera: Lariza Melo
16:00
- LA CINETECA NACIONAL: ¿UN OASIS PARA VER CINE MEXICANO?
Rafael Guilhem y Antonio Zirión
16:45
- VER CINE EN EL CIRCUITO CULTURAL DE LA CDMX: 7 CASOS DE ESTUDIO
Samuel B. Morales y Lariza Melo
17:30
- PIRATERÍA Y CINE MEXICANO: ENCUENTROS Y DESENCUENTROS DE LAS PELÍCULAS MEXICANAS CON SUS ESPECTADORES EN EL ESPACIO PÚBLICO DE LA CIUDAD DE MÉXICO
Rosario Lara Gómez
18:15
- MULTIPLICACIÓN DE LAS VENTANAS CINEMATOGRÁFICAS. PLATAFORMAS DIGITALES EN MEXICO
Ana Rosas Mantecón
19:00
- EL CASO DE FILMINLATINO, LA PLATAFORMA VOD DEL IMCINE
Lucía Miranda y Katia Morales Gaitán
COMENTARIOS Y DISCUSIÓN: Pau Montagud
VIEJAS Y NUEVAS METODOLOGÍAS
SESIÓN MATUTINA
5 de abril
10-14 horas
Modera: Cuauhtémoc Ochoa
10:00
- INVESTIGAR EN CINE: APRENDIZAJES Y DIFICULTADES
Samuel B. Morales y Katia Morales Gaitán
11:00
- PANORAMA ESTADÍSTICO DE LA OFERTA DE CINE MEXICANO Y LAS DINÁMICAS DE SU CONSUMO
Ana Rosas Mantecón
12:00
- CARTOGRAFÍAS DE LA EXHIBICIÓN
Cuauhtémoc Ochoa
13:00
- CIRCUITOS DE CIRCULACIÓN DE PELÍCULAS MEXICANAS EN LA CIUDAD DE MÉXICO
Juan Carlos Domínguez Domingo
COMENTARIOS Y DISCUSIÓN: Ángel Miquel
VIEJAS Y NUEVAS METODOLOGÍAS
SESIÓN VESPERTINA
5 de abril
16-20 horas
Modera: Samuel B. Morales
16:00
- EL ESPECTADOR OBSERVADO: PROPUESTAS PARA UNA ETNOGRAFÍA DE LOS PÚBLICOS DE CINE
Antonio Zirión
17:00
- EXPLORANDO LAS OPINIONES DE LOS MEXICANOS SOBRE EL CINE NACIONAL A TRAVÉS DE UNA ETNOGRAFÍA DIGITAL EN FACEBOOK E INSTAGRAM
Gabriela Montoya Gastélum
18:00
- BIOGRAFÍAS CINÉFILAS
Rosario Lara Gómez
19:00
- EL FESTIVAL MACABRO Y LOS PÚBLICOS DE CINE DE TERROR EN LA CIUDAD DE MÉXICO
Ana Barrera
COMENTARISTA: Álvaro Vázquez
POLÍTICAS PÚBLICAS DE PROMOCIÓN, EXHIBICIÓN Y ACCESO AL CINE MEXICANO EN LA CIUDAD DE MÉXICO
SESIÓN MATUTINA
6 de abril
10-14 horas
Modera: Juan Carlos Domínguez
10:00
- CONCLUSIONES, RECOMENDACIONES Y APRENDIZAJES PRINCIPALES
Katia Morales Gaitán, Samuel B. Morales, Lariza, Melo
10:45
- ARTICULACIÓN DE LAS POLÍTICAS Y PROGRAMAS PÚBLICOS DE PROMOCIÓN Y EXHIBICIÓN DEL CINE MEXICANO EN LA CIUDAD DE MÉXICO
Adriana Urbina
11:30
- PROPUESTAS DE POLÍTICA PÚBLICA PARA EL ACCESO, LA PROMOCIÓN Y DIFUSIÓN DEL CINE MEXICANO EN LA CIUDAD DE MÉXICO
Ana Rosas Mantecón
12:00
- PROGRAMAS PARA LA PROMOCIÓN DEL CINE NACIONAL: EL DÍA, LA SEMANA Y LA FIESTA DEL CINE MEXICANO
Ana Barrera y Antonio Zirión
COMENTARISTA: Alejandro Pelayo
CIERRE: Cristián Calónico (Director del Fideicomiso para la Promoción y Desarrollo del Cine Mexicano en el Ciudad de México PROCINEDF)