Formation doctorale

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Résultant d’un profond voyage dans le sud-est asiatique qu’a commencé au Japon, continué en Thaïlande, — où j’ai expérimenté une retraite Vipassana— puis dans le magnétique Angkor Wat, au Cambodge et ayant fini entre les lumières vibrantes de Saïgon et les plages de Phu Quoq, Vietnam, au début de 2019 j’ai décidé de poursuivre mes études doctorales.

Après un parcours à l’industrie cinématographique mexicaine en tant que enseignante (UNAM, Universidad Iberoamericana, Cineteca Nacional, UAEMex), dans la coordination de contenu pour la VàD Filminlatino, IMCINE, et comisioné à la recherche par Procine DF, je reviens vers mes passions : la recherche et la connaissance.

C’est dans la ville où le cinématographe est né que j’ai fait ma première expérience d’apprentissage à une université francophone, lors d’un échange académique à l’Université Lyon Lumière 2, France (2008). Lorsque je me renseignais sur divers formations doctorales, j’ai découvert mon programme actuel. Aujourd’hui, j’ai le honneur d’être dirigée par l’un des plus grands érudits en la matière, André Gaudreault, titulaire de la chaire de recherche en études cinématographiques et médiatiques du Canada, professeur chercheur au département d’histoire de l’art et des études cinématographiques de l’université de Montréal. Gaudreault a contribué a la formation théorique du champ d’études du «cinéma des premiers temps», le montage et plus récemment il s’intéresse à la culture numérique pré du cinéma.

J’en suis à la phase initiale de mon projet de recherche doctorale, intitulé : «

Au-delà de la spéculation, les chaînes de block, une technologie en pleine expérimentation dans l’industrie du cinéma et l’audiovisuel (2020-2023) ». Parallèlement, j’ai commencé à travailler au Laboratoire CinéMédias de la même institution, dans le cadre du projet PRAGM/e, qui remettra une publication sur le développement historique, régional et linguistique du concept de «montage». De même, ce trimestre hiver 2020, j’ai eu le plaisir d’être l’assistant de la professeure Zaira Zarza pour son cours “Cine latino-américain”.

En ce moment dystopique de l’histoire de l’humanité, je fais face à de nouveaux défis personnels et professionnels, mais surtout, j’ai la certitude d’avoir le meilleur guide et les meilleurs outils pour enrichir l’avancement des connaissances qui entrecroisent le cinéma et les innovations technologiques.

Nueva formación doctoral

Tras un profundo viaje por el sureste asiático que inició en Japón, siguió en Tailandia,— donde experimenté un retiro Vipassana— para luego continuar en el magnético Angkor Wat, Camboya y cerrar entre las vibrantes luces de Saigón y las playas de Pû Quoc, Vietnam, a inicios de 2019 decidí continuar mi formación académica de doctorado.

Luego de una carrera en la industria cinematográfica en México que incluyó una serie de producciones independientes, la docencia en diferentes universidades (UNAM, Ibero, UAEMex, CECC Pedregal), la coordinación de contenidos para Filminlatino– IMCINE, la gestión cultural en Cineteca Nacional y tras haber sido comisionada por Procine DF, regreso a una dos de mis pasiones en la vida: la investigación y el conocimiento.

Fue en Lyon, ciudad que vio nacer al cinematógrafo donde tuve mi primera inmersión en una universidad francófona. Precisamente en la Universidad Lyon Lumière 2. Tras analizar diversos posgrados de excelencia, descubrí mi actual programa. Hoy tengo el honor de trabajar bajo la dirección de uno de los eruditos en esta materia, el Dr. André Gaudreault, titular de la cátedra de investigación en estudios cinematográficos y mediáticos de Canadá, profesor- investigador del Departamento de Historia del Arte y Estudios Cinematográficos de la Universidad de Montreal. Gaudreault ha dado fundamento teórico al campo del cine de los primeros tiempos, el montaje y la cultura digital en el cine.

Me encuentro en la etapa inicial de mi proyecto de investigación doctoral tentativamente titulado : “Más allá de la especulación: blockchain, una tecnología a prueba en la industria cinematográfica y audiovisual (2020-2023).” Paralelamente he comenzado a trabajar en el Laboratorio CinéMédias, de la misma institución, dentro del proyecto PRAGM/e donde preparamos una publicación sobre el desarrollo histórico, regional y lingüístico del concepto de «montaje». Así mismo este trimestre invierno 2020, tuve el gusto de ser asistente de la Dra. Zaira Zarza, para su curso “Cine Latinoamericano”.

En este distópico momento de la historia de la humanidad, encaro nuevos retos personales y profesionales, pero sobre todo, tengo la certeza de contar con la mejor guía y las mejores herramientas para abonar al avance de los conocimientos que entrecruzan a cinematografía y las innovaciones tecnológicas.